Ailleurs qu'aujourd'hui
Ici c'est la tristesse et la désolation
Tout se consomme dans les cendres de nos villes
Où se replie sur soi inquiète et sans passion
L'innocence assassinée des enfants adultes
Si la fuite en avant c'est un nouveau départ
Ne croyez pas pourtant que c'est l'unique espoir
Sur les aéroports la danse du gradient
C'est le chant des sirènes (et) des bateaux rougis
Là-bas c'est tant de fois et ailleurs qu'aujourd'hui
C'est les étendues vides et calmes des étangs
Où le vent souffle et le meilleur est à venir
Il n'y a pas là-bas de désespoir amer
Au delà du Soleil, horizon perspectives
Le même gris du ciel mais tout est à refaire
Patrice Salzenstein, 25.05.1991
Tout se consomme dans les cendres de nos villes
Où se replie sur soi inquiète et sans passion
L'innocence assassinée des enfants adultes
Si la fuite en avant c'est un nouveau départ
Ne croyez pas pourtant que c'est l'unique espoir
Sur les aéroports la danse du gradient
C'est le chant des sirènes (et) des bateaux rougis
Là-bas c'est tant de fois et ailleurs qu'aujourd'hui
C'est les étendues vides et calmes des étangs
Où le vent souffle et le meilleur est à venir
Il n'y a pas là-bas de désespoir amer
Au delà du Soleil, horizon perspectives
Le même gris du ciel mais tout est à refaire
Patrice Salzenstein, 25.05.1991